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L’intérêt premier cet agro-pastoralisme est la tonte entre les rangs de vignes. Les animaux ont la capacité de manger l’herbe autour du pied de la vigne de manière plus précise qu’un outil mécanique. Il est intéressant de faire venir des vaches et des moutons car ceux-ci ne mangent pas de la même manière, et pas toujours les mêmes végétaux. Ensuite, les animaux apportent de la matière organique qui stimule et enrichit toute la vie microbienne des sols. De plus, les fumures apportées par les déjections animales se complètent. Tout au long de l’hiver, les animaux alternent entre vignes et garrigues, afin de diversifier leur alimentation et de trouver des abris en cas de grand froid.
L’agro-pastoralisme s’inscrit dans la vision globale de la biodynamie : nous sommes en quête d’un équilibre et d’une complémentarité entre le règne animal et végétal. L’idée est qu’il n’y ait pas une production dominante sur notre terroir. Nous souhaitons donc favoriser la polyculture et entretenir un lien avec les autres agriculteurs locaux. En parallèle, et toujours dans une vision globale du système agricole, nous accueillons des ruchers dans nos vignes à la fin de l’hiver, lorsque le thym est en fleur. Nous semons également entre deux plantations de la luzerne et des céréales.
Plus d’informations sur notre approche engagement dans la biodynamie ici